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  • Billet du dimanche 22 mars

    Voilà le billet du jour de l'abbé Flota

    Egalement un lien vers une vidéo parlant de l'Evangile de ce jour

     

     
     
     
     
     
     
    Cordialement
    Aurélie LEVEQUE
    EAP Communication

     

     

     

    Dimanche 22 mars 2020  

                                 

    Chers amis,

    Chers frères et sœurs,

     

    Cela fait exactement une semaine qu’il n’y a plus de messe célébrée de façon publique dans notre pays. Une semaine, que certains souffrent de ne pouvoir se rendre dans leur lieu de culte habituel et de ne pouvoir rencontrer et saluer physiquement leurs proches et leurs amis. Aujourd’hui, pour ceux qui écoutent cette vidéo sur internet par le biais de Facebook, vous constatez que je porte des vêtements liturgiques de couleur rose (mélange de violet et de blanc). Ceci signifie que Pâques n’est plus qu’à trois semaines. A ce jour, personne ne peut dire si nous célébrerons ensemble la Résurrection du Christ. Mais soyons sûrs nous aussi, que nous ne porterons pas le deuil indéfiniment.  Un jour, cette épreuve aura une fin.

    Les scrutins :

    Ce WE, à Rimbach et à Masevaux, nous aurions dû nous retrouver pour une messe des familles et vivre la 2e des 3 ultimes étapes de William, Geoffrey et Hanh qui se préparent de façon imminente au baptême. Au cours de ces étapes, que nous appelons les scrutins, l’Eglise prie tout particulièrement pour que les futurs baptisés ne se découragent pas face aux tentations du démon, qu’ils restent fermes dans leur choix d’appartenir à Jésus. Je me permets de vous lire une des prières que j’aurais dite ce matin pour eux : « Seigneur Jésus, quand Tu fus baptisé, les cieux se sont ouverts et l’Esprit saint a demeuré sur Toi pour qu’en Lui, Tu évangélises les pauvres et rendes la vue aux aveugles. Fais descendre cet Esprit sur ceux qui aspirent à tes sacrements : qu’ils soient préservés de l’erreur, du doute et de l’incroyance et conduits par une foi éclairée, afin que les yeux levés vers Toi, ils Te contemplent d’un regard purifié, Toi qui règnes pour les siècles des siècles. Amen ».

    Je vous invite frères et sœurs, à vous arrêter un petit moment et à demander pour chacun d’entre nous ces mêmes grâces. « Oui Seigneur, par l’Esprit de vérité, délivre-moi de mes esclavages, éveille en moi le bon vouloir, donne-moi de passer des ténèbres à la lumière, donne-moi de rester pour toujours fils et fille de lumière ».

    La 1ère lecture de ce dimanche est tirée du 1er Livre de Samuel, chap 16, v. 1 à 13.

    Le prophète Samuel est chargé par Dieu de désigner parmi les fils de Jessé à Bethléem le futur roi qui succédera à Saül. Ce qui est important de retenir pour nous aujourd’hui, c’est le fait d’accepter de changer notre regard sur les personnes. Pendant ce confinement, Dieu nous demande à nous aussi de regarder l’autre, les autres, « non pas selon l'apparence, mais selon le cœur. » L’apôtre Paul le dira un jour d’une autre façon dans la 1ère épitre aux Corinthiens, chap 1, v 27 : « Ce qui est faible dans le monde, Dieu l'a choisi pour confondre ce qui est fort ». Acceptons de nous laisser surprendre par les autres dans ces jours de faiblesse et d’épreuves, car aucun d’entre nous ne possède en lui-même les qualités ou les forces nécessaires et suffisantes. C’est Dieu qui y pourvoit. Remercions-le pour son Esprit reçu au baptême et pour ce même don qu’Il a également donné aux autres.

    La 2e lecture est tirée de l’épître aux Ephésiens (5, 8-14)

    L’apôtre Paul rappelle aux jeunes chrétiens d’Ephèse qu’avec leur baptême, une vie radicalement neuve a commencé. Le nom que l’on donne à un nouveau baptisé est : « néophyte », ce qui veut dire « nouvelle plante ». Dans la vallée, nous avons des arboriculteurs dont la science est de savoir greffer des arbres. Ainsi le fruit que l’on va récolter sur l’arbre greffé sera radicalement autre que celui du porte-greffe initial. On peut par exemple greffer un poirier sur une aubépine pour obtenir un bon comportement en terre calcaire. Parfois, il peut arriver que l'arbre primitif, le porte-greffe fasse naître un rejeton indésirable. Et bien c’est ce qui peut se passer avec nous. St Paul nous dit : « Autrefois, vous étiez ténèbres ; maintenant dans le Seigneur, c’est-à-dire que le Christ a été greffé en vous, vous êtes lumière ; conduisez-vous comme des enfants de lumière – or la lumière a pour fruit tout ce qui est bonté, justice et vérité ». Peut-être qu’en cette période d’épreuve, nous pouvons être tentés de revenir à de vieilles et mauvaises habitudes dont nous nous étions débarrassés et que nous pourrions à nouveau laisser grandir en nous. « Réveille-toi, ô toi qui dors, relève-toi d’entre les morts, et le Christ t’illuminera » dit l’apôtre. Taillons les rejetons indésirables (le laisser aller, la paresse, le découragement, la tentation de petites consolations comme la pornographie ou l’alcool, l’égoïsme primaire, les caprices, etc.) et demandons à Jésus de nous aider.

    Dans l’évangile, qui se trouve au chapitre 9 de st Jean, il est question de la guérison d’un aveugle de naissance. La réponse que Jésus donne quant à l’origine de la maladie en disant que « ni lui, ni ses parents n’ont péché », doit nous aider à ne pas tomber dans l’accusation et le jugement. Dans la Bible, celui qui est appelé l’Accusateur, c’est le démon. N’entrons pas dans son jeu.

    L’aveugle n’a rien demandé, le geste de Jésus est totalement gratuit. Dans un 1er temps, il refait l’acte créateur avec sa salive (signe de son humanité) qu’il mélange à la poussière du sol. Il fait ainsi une sorte de boue qu’il applique sur les yeux du non-voyant. Il reproduit ainsi un acte de recréation que l’on trouve déjà présent dans le Livre de la Genèse, où il est fait mention de l’acte de création que Dieu opère avec de l’argile du sol.

    Dans nos vies, quelle recréation Dieu doit-il opérer en nous ? Dans quels domaines suis-je aveugle et ai-je besoin d’avoir les yeux pleinement ouverts ? Dans ma façon d’aimer au sein du couple, dans la relation parents-enfants, dans ma fratrie, avec mes parents âgés, dans mon voisinage ?

    Puis Jésus envoie l’aveugle se laver les yeux à la piscine de Siloé.

    Notons qu’en y allant l’aveugle ne voit pas encore, il obéit par la foi et là, il recouvre la vue et reçoit le don de la foi. Siloé veut dire « envoyé ». Cet envoyé, c’est Lui : Jésus. Pendant ce temps de carême si particulier à cause de ce confinement, Jésus nous demande à nous aussi de lui faire confiance et comme l’aveugle, dans le noir qui est le sien, de trouver notre Siloé intérieur.

    De revenir à notre source, c’est-à-dire à notre condition d’enfant de Dieu, à la prière que nous par moment si facilement délaissée, à lecture d’un passage de la vie de Jésus dans la Bible. Peu importe ce qu’en penseront les autres. L’aveugle de naissance n’a pas été suivi par ses voisins. Ses parents n’ont pas été très courageux. Face à l'adversité, ils ont préféré jouer profil bas. Nous leur ressemblons aussi quelques fois. Aujourd'hui, en cette période de crise, n’ayons pas peur de dire que nous prions Dieu. Ne nous posons pas la question de savoir si nous serons compris ou pas. N’ayons pas peur de poser un geste évangélique qui nous démarquera de ce que font les autres comme par exemple de s’excuser ou de se demander pardon encas d’agacement, d’impatience ou de maladresse. C’est aussi cela marquer notre différence chrétienne !

    Juste avant cette messe, j’ai reçu un texto d’amis évangéliques, me disant que tous les chrétiens dans le monde sont invités à prier chez eux de midi à 13h et ainsi de couvrir le globe de nos supplications sur l’ensemble des 24h. Parmi vous, il en est peut-être qui se disent à quoi bon prier ? Rappelons-nous que la prière qui ne sert à rien, c’est celle qu’on ne fait pas. Ne grossissons pas le rang des nombreux aveugles qui ne voient pas dans ces événements un appel à un changement de nos cœurs, de nos mentalités, de notre manière de vivre en relation avec Dieu, avec les autres et avec la planète.

    J’offrirai la messe qui suivra pour vos intentions, pour les défunts de la semaine, les malades que vous portez dans votre cœur et pour chacun de vous. Dieu vous bénisse.

  • Méditation du samedi 21 mars 2020

    Samedi 21 mars 2020                               

    Chers amis,

    Chers frères et sœurs,

    Nous voilà au début de notre 5e jour de confinement. Hier, lors de l’inhumation d’une personne à Masevaux, une idée m’a traversé l’esprit : je pourrais faire le chemin jusqu’au cimetière depuis le presbytère à pied en portant ostensiblement le bénitier de façon à ce que je puisse saluer les rares Masopolitains que je croiserais en train de faire leurs courses ou que j’apercevrais derrière leurs rideaux. Cela me permettrait en même temps de me dégourdir les jambes. En entendant les mesures de confinement diffusées en boucle à la radio, l’insistance de nos responsables politiques à rester chez soi et à ne sortir qu’en cas de grandes nécessités, je me suis ravisé. « Non Frédéric, tout prêtre que tu es, tu vas te plier aux injonctions du corps médical et des autorités civiles pour ne pas te mettre inutilement en danger et surtout pour montrer l’exemple. Il n’est pas bon en effet de vouloir faire le héros, quand on il s’agit de lutter contre un ennemi invisible ».

    Pour expliquer aux enfants comment le coronavirus agit, il suffit de prendre l’exemple de leurs consoles de jeux vidéo. Ceux qui y jouent, se rendent bien compte de la facilité qu’il y a à être derrière l’écran et à détruire tout ce qui sort d’un paysage, bouge dans une maison ou se met en mouvement dans une rue. Le covid-19, c’est ça. Insidieux, subtil, rapide et surprenant, il appuie sur toutes les gâchettes que nous lui mettons à dispositions pour infecter, rendre malade, paralyser, décimer, décourager, anéantir.

    En recoupant les divers témoignages de soignants entendus sur les ondes radio, lus dans les journaux ou d’amis travaillant dans le milieu hospitalier, je pense qu’après la fin de cette épidémie, nous parlerons un jour du martyr blanc du personnel soignant.

    Pour l’instant ici à Masevaux, le rdv de 20h est encore timide. Peu de gens se pressent aux fenêtres pour applaudir un cours instant l’héroïsme de notre personnel médical. Je sais qu’à Sewen, tout au fond de la Vallée, les instruments de la clique de Sapeurs-pompiers résonnent pour manifester leur soutien. C’est bien et il faut le faire. Cela marque un petit moment d’unité de la nation. Mais pour un chrétien, on peut et on doit aller plus loin. Si des malades sortent de l’hôpital, c’est grâce à nos soignants qui œuvrent avec dévouement pour eux. Tout récemment des amis m’ont envoyé le témoignage très poignant du pasteur Samuel Peterchmitt de retour chez lui qui disait combien il était redevable à ceux qui ont pris soin de lui. Rappelons-nous qu’avant l’épidémie, le personnel médical était déjà en surchauffe et à Mulhouse un grand nombre de médecins urgentistes avaient démissionné tant la situation en temps normal, je veux dire sans épidémie, était déjà tendue. Je voudrais aussi rappeler le très douloureux événement qui nous a tous secoué ici dans la vallée, avec le décès tragique de Yann Trommenschlager, fin 2019. Parmi les raisons qui l’ont poussé à faire ce geste, il y avait pour ce jeune infirmier urgentiste, très entreprenant, le stress lié à son travail.

    Nous savons malheureusement que la durée de l’hospitalisation pour les cas les plus graves varie entre deux et trois semaines, ce qui sature le nombre de lits largement insuffisant en service de réanimation. Nous devons donc prier pour tous ceux qui quotidiennement montent, jour et nuit, au front de l’urgence sanitaire sachant pertinemment que ce seront peut-être eux qui seront aujourd’hui ou demain les prochaines victimes du coronavirus.

    Ste Thérèse de Lisieux croyait beaucoup en ce que nous appelons la communion des saints. Elle priait et offrait ses petits efforts pour deux prêtres dont elle était la marraine spirituelle. Quand sa santé vint à décliner, elle disait : « je marche pour un missionnaire ».

    Pour nous aujourd’hui, « marcher pour un missionnaire » passe par cette obéissance à la loi qui nous contraint à rester chez nous. Je mesure combien pour certaines familles c’est difficile de rester confiné les uns sur les autres lorsqu’on est nombreux à vivre dans un petit appartement ou une petite maison. Je mesure aussi combien pour les personnes vivant seules, le découragement peut les guetter.

    C’est la raison pour laquelle, nous devons demander à l’Eprit Saint le don de force. Il ne nous donne pas les biceps ou les pectoraux de Sylvester Stallone, de Jean-Claude Van Damme ou de Betty PARISO. Par le don de force, l’Esprit Saint nous aide spirituellement à tenir dans l’adversité, à affronter les épreuves, à rester dans la paix intérieure, à aller jusqu’au bout de ce qu’on doit faire, que ce soit à la maison pour vous, petits et grands qui êtes confinés chez vous, que ce soit sur votre lieu de travail. Par le don de force, l’Esprit Saint aidera les uns à garder le sourire, ou le silence selon le moment, à dire une parole consolante, à rendre un petit service qui nous coûte, à rester fidèle à la prière, confiant en Dieu. Par le don de force, Dieu nous aide à avoir la force intérieure qui donne la facilité de s’oublier soi-même et d’être plus attentif au prochain. Il nous aide aussi à mortifier notre désir d’attirer l’attention, à servir les autres sans le faire remarquer, à vaincre l’impatience, à ne pas ressasser infiniment nos propres problèmes, à faire attention à notre imagination en repoussant les pensées inutiles. Dans le Nouveau Testament, l’apôtre Paul nous dit en Philippiens 4, 13 : « Je peux tout en Celui qui me fortifie ». La vertu de force ne supprime pas la faiblesse de la nature humaine, la crainte du danger, la peur de la douleur, la fatigue… Le fort peut connaître la peur, mais il la surmonte grâce à l’amour. Cette vertu peut parfois amener certains à donner leur vie en témoignage de la foi si le Seigneur le demande. Le martyr chrétien est la force suprême de la force d’âme. Normalement chaque chrétien devrait être disposé à donner sa vie pour le Christ si les circonstances l’exigent.   

    Frères et sœurs, chers amis, St Jean Chrysostome nous rappelle que c’est par les difficultés que certaines vertus ou qualités humaines se consolident. Pour préciser sa pensée il prend l’image des arbres. Ici dans notre vallée, quand nous nous promenons sur les sommets, nous voyons bien que les arbres qui ont grandi tout en haut, n’ont pas forcément la même taille que ces grands sapins qui poussent plus bas sur les flancs de montagne. Les premiers sont souvent plus agités par le vent, exposés aux intempéries, couverts par la neige, de ce fait, « ils deviennent plus robustes que le fer » alors que les autres qui n’ont pas fait assez de racines peuvent tomber à la première tempête.

    Frères et sœurs, chers amis, demandons ensemble à l’Esprit saint de nous aider, de nous fortifier dans nos faiblesses. Pour terminer je vous propose quelques extraits de la litanie du Saint-Esprit que vous pourrez trouver sur internet. Nous la prierons plus particulièrement pour les soignants.

     

    Père Céleste, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous,

    Fils, Rédempteur du monde, ayez pitié de nous,

    Esprit Saint, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.

    Esprit Saint, qui procédez du Père et du Fils, venez en nous.

    Esprit du Seigneur, qui remplissez tout l’univers, venez en nous.

    Esprit Saint de qui Jésus a été conçu dans le sein de la Vierge Marie, venez en nous.

    Esprit de sagesse et d’intelligence, venez en nous.

    Esprit de conseil et de force, venez en nous.

    Esprit de science et de piété, venez en nous.

    Esprit de crainte du Seigneur, venez en nous.

    Esprit de foi, d’espérance et d’amour, venez en nous.

    Esprit d’humilité et de miséricorde, venez en nous.

    Esprit de justice et de sainteté, venez en nous.

    Esprit de vérité, venez en nous.

    Esprit Saint Consolateur, venez en nous.

    Esprit Saint qui répandez la charité dans nos cœurs, venez en nous.

    Esprit Saint qui nous inspirez le bien, venez en nous.

    Esprit Saint qui nous inspirez la vraie prière, venez en nous.

    Esprit Saint qui nous détournez du mal, venez en nous.

    Esprit Saint qui nous protégez du démon, venez en nous.

    Esprit Saint qui nous délivrez des tentations, venez en nous.

    Esprit Saint qui nous remplissez de joie, venez en nous.

    Esprit Saint qui nous rendez purs, venez en nous.

    Esprit Saint qui nous rendez attentifs aux inspirations des Anges, venez en nous.

    Esprit Saint qui suscitez paix et amour, venez en nous.

    Esprit Saint qui êtes notre seule force, venez en nous.

    Esprit Saint, don du Père et du Fils, venez en nous.

    Esprit Saint que nous adorons, venez en nous.

    Seigneur, envoyez-nous votre Esprit

    afin qu’Il renouvelle la face de la terre !

    PRIONS :

    Père très bon, par Jésus vous avez promis que quiconque demanderait votre Esprit Saint avec la confiance d’un enfant, celui-là ne serait pas déçu (Lc 11, 13). Sur la foi de cette parole, nous osons déjà vous remercier pour le don sacré que vous voulez nous faire. En union avec cet Esprit Divin, nous voulons vous offrir ce monde en souffrance, l’ensemble des soignants et notre vie Fils Jésus sur la croix. Amen.

  • Journée de prière et de jeûne

    En cette période si particulière de confinement, voilà une proposition pour s'unir à la journée de prière et jeûne demandée par Mgr RAVEL

    Unissons nous à cette autre manière de faire Eglise, chacun chez soi, mais dans une véritable communion diocésaine (et sans au delà)

    Propositionprières20mars.pdf

    propositionpsaumes20mars.pdf

    Proposition pastorale de Mgr Luc RAVEL autour de l’épidémie du Covid-19

    Je demande à tous les diocésains en état de le faire de participer à une

    Journée diocésaine de jeûne et de prière

    le vendredi 20 mars.

    Cette journée de jeûne sera spécialement dédiée à une prière pour les malades, les soignants et tous ceux qui ont la mission de protéger et d’organiser la protection sanitaire. Des pistes de prière très simples seront diffusées.

    On pourra y joindre un geste de partage financier ou une démarche de solidarité, comme l’appel téléphonique ou la communication par Skype envers des personnes âgées ou malades particulièrement isolées ou confinées en EHPAD.

    Strasbourg, le 13 mars 2020

    + Luc Ravel, Archevêque de Strasbourg